Former Speaker Nembang’s funeral performed with state honour



Mon épopée au sein de la diaspora népalaise en France

Mon voyage en France en tant que citoyen népalais a été un mélange d’expériences excitantes et terrifiantes, d’acclimatation à une culture radicalement différente et de maintien de mes valeurs népalaises traditionnelles en terre étrangère. Cet article reflète mon cheminement personnel.

Une quête d’opportunités: départ du Népal

Selon l’ambassade du Népal en France, on estime à environ 1000 népalais, leur population en France. Comme beaucoup d’entre eux, j’ai quitté le Népal en quête d’opportunités. Pour moi, la France était une terre de possibilités et d’avenir, une terre où je pourrais améliorer mes qualifications académiques et professionnelles.

Mes rencontres en France

En arrivant en France, j’ai été accueilli par une société diversifiée et multiculturelle, comprenant de nombreux autres immigrants comme moi. J’ai intégrer rapidement la communauté népalaise locale, doudou réconfortant de la maison dans ce nouveau pays.

Difficultés d’intégration et être népalais en France

Être un immigrant n’est pas sans défis. La barrière de la langue a été l’un de mes principaux obstacles. A cela s’ajoute les différences culturelles majeures et les stéréotypes dont nous faisons souvent l’objet. Néanmoins, des efforts constants pour apprendre le français et comprendre la culture locale m’ont aidé à m’intégrer lentement mais sûrement.

Apprécier la diversité culturelle française

Une fois que j’ai commencé à comprendre la langue et à me familiariser avec les coutumes locales, j’ai commencé à apprécier la diversité culturelle française. La cuisine française, les festivals, l’histoire et l’architecture m’ont non seulement ébloui, mais m’ont également permis d’apprécier mon identité népalaise dans ce creuset culturel.

Maintenir l’héritage népalais en France

Même en m’adaptant à cette nouvelle vie en France, il était tout aussi important pour moi de maintenir mon identité népalaise. Célébrer les festivals népalais tels que Dashain et Tihar, cuisiner des plats traditionnels népalais et pratiquer ma langue maternelle népalaise avec la communauté népalaise sur place, tout cela m’a aidé à rester connecté avec mes racines népalaises tout en étant dans un pays étranger.

J’espère que mon récit inspire d’autres immigrants népalais en France à croire en leurs rêves et à travailler dur pour les réaliser, tout en préservant la belle culture népalaise.