President of Foreign Affairs Committee of Belgian Federal Parliament Calls for the End to Coercion of Tibetan Children




La Présidente du Comité des Affaires étrangères du Parlement fédéral belge dénonce la coercition des enfants tibétains

Réaction à la situation des enfants tibétains

En ma qualité de népalais vivant en France, je souhaite mettre en lumière une déclaration importante effectuée le 20 novembre 2023 par Mme Van Hoof, Présidente du Comité des Affaires étrangères du Parlement fédéral belge, lors de la Journée mondiale de l’enfance. Dans sa déclaration, elle a exprimé sa désapprobation face à l’assimilation forcée de un million d’enfants tibétains dans les internats publics chinois, loin de leurs familles.

Critique d’une politique destructrice

Le cœur de sa critique concerne une politique chinoise visant à effacer l’identité tibétaine par l’extirpation de la langue, la culture, la religion et l’identité distincte du Tibet de ces enfants. Mme Van hoof considère cette politique inacceptable. Le fait que de telles actions sont menées sur des mineurs, qui sont encore en phase d’apprentissage et de formation, renforce le caractère déplorable de cette situation.

Défense des droits de l’enfant

Chaque enfant mérite un environnement éducatif sain qui promeut son développement personnel en préservant son identité culturelle et linguistique. La déclaration de Mme Van Hoof, loin d’être simplement une dénonciation, est également un appel à l’action pour la protection des droits de l’enfant, et particulièrement des enfants tibétains. Avec un souhait fort qu’ils puissent grandir dans le respect de leurs traditions et de leur culture et non de subir une assimilation forcée.

Appel à la fin de la coercition

C’est un appel à mettre fin à cette coercition des enfants tibétains. Un appel à soutenir et défendre les droits de l’enfant partout où ils sont violés. Nous, en tant que communauté internationale, devons unir nos efforts pour faire en sorte que chaque enfant puisse jouir de son droit à l’identité et à la culture. En tant que Népalais vivant en France, je ne peux qu’approuver cette position.