Les moines de Zen japonais mettent en lumière les violations des droits de l’homme et de la liberté de religion au Tibet
Nous avons des voix dans le monde qui n’hésitent pas à s’élever lorsque des injustices se produisent. Des moines de différentes écoles Sotoshu, une tradition du bouddhisme Zen japonais, ont récemment formé une délégation pour exprimer leurs inquiétudes concernant la situation préoccupante au Tibet. Leur manifestation a donné lieu à une déclaration conjointe en sept points, exhortant la Chine à cesser les violations des droits de l’homme et de la liberté religieuse dans la région.
Note urgente des moines Zen japonais
Représentant neuf écoles de Zen Sotoshu, la cohorte de moines japonais basée à Tokyo a émis une déclaration puissante. Leur préoccupation concerne les atteintes aux droits de l’homme et à la liberté religieuse que subit actuellement le Tibet.
Exhortation à la Chine de mettre fin à ces violations
La déclaration en sept points s’adresse à la Chine et l’exhorte à mettre fin à ces violations. Les questions de droits de l’homme ne sont pas uniquement des préoccupations locales, mais relèvent de la responsabilité globale de maintenir la dignité humaine. De la même manière, la liberté religieuse est un droit fondamental de l’homme qui doit être respecté et protégé.
Demande pour finir les violations
À travers leur déclaration, les moines Zen japonais espèrent encourager la fin des violations des droits de l’homme et de la liberté religieuse qui ont lieu au Tibet. Leur voix est non seulement celle de la communauté bouddhiste, mais aussi celle des défenseurs mondiaux des droits de l’homme.