Vernissage de « Shadow Circus »: une exposition temporaire sur le mouvement de résistance tibétain par l’ancien Kalon Dongchung Ngodup
Originaire du Népal et résidant en France, j’ai l’opportunité de partager avec vous le vernissage de « Shadow Circus », une exposition temporaire sur le mouvement de résistance tibétain, inaugurée par l’ancien Kalon de la Sécurité, Dongchung Ngodup. L’exposition a eu lieu au Musée du Tibet à Dharamsala et a été présidée par le Secrétaire du DIIR, Karma Choeying, avec la présence spéciale des cinéastes Tenzing Sonam et Ritu Sarin.
L’inauguration de l’exposition « Shadow Circus »
Le matin même, Dongchung Ngodup, l’ancien Kalon de la sécurité, a inauguré l’exposition « Shadow Circus » au Musée du Tibet à Dharamsala. La cérémonie d’inauguration a été un grand honneur, car elle a été présidée non seulement par Ngodup, mais également par le Secrétaire du DIIR, Karma Choeying, ainsi que par des invités spéciaux, les cinéastes Tenzing Sonam et Ritu Sarin.
A propos de « Shadow Circus »
« Shadow Circus » est une exposition temporaire qui met l’accent sur le mouvement de résistance tibétain. Elle a été conçue pour jeter une lumière sur la lutte contre l’autorité chinoise et pour encourager une plus grande prise de conscience et une compréhension de la situation difficile que vivent les Tibétains. Le nom de l’exposition, « Shadow Circus », évoque l’idée d’une lutte se déroulant dans l’ombre, ce qui renforce la nature clandestine et insaisissable du mouvement de résistance tibétain.
Impressions de l’évènement
J’ai personnellement trouvé ce vernissage très enrichissant. Pouvoir entendre l’ancien Kalon Dongchung Ngodup ainsi que les cinéastes Tenzing Sonam et Ritu Sarin partager leurs points de vue et expériences a ajouté une profondeur à l’exposition. J’encourage vraiment les personnes intéressées par l’histoire du Tibet et du mouvement de résistance tibétain à visiter cette exposition temporaire.
Un regard népalais en France
En tant que résident népalais en France, pouvoir partager ce vernissage a été une occasion rare pour moi d’apprendre davantage sur le mouvement de résistance tibétain et sur le rôle important que jouent les arts et la culture dans la lutte pour la liberté et l’autonomie.
